Hommages à Henri Deluy

En ligne sur le site de l'Alcazar, un zoom sur Henri Deluy par Victor Servant, Fonds patrimoniaux BMVR Alcazar, Marseille.

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Hommage à Montréal

1931-2021


Alain Lance a écrit pour le site Poezibao cet hommage :

Elisabeth Roudinesco, sa fidèle amie, m'apprend aujourd'hui la mort d'Henri Deluy dans sa ville natale de Marseille. Je lui avais écrit avant-hier, ma lettre est sans doute arrivée trop tard. J'espère qu'en cette triste circonstance on saura reconnaître enfin le rôle majeur qu'a joué Henri dans le paysage poétique contemporain. On peut déjà se replonger dans le livre que Claude Adelen lui a consacré, Henri Deluy, Une passion de l'immédiat (Fourbis, 1995).

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Julien Blaine

Marseille en partage
Hommage à Henri Deluy
par Julien Blaine

ça commence souvent comme ça :
des affinités,
une solidarité entre ces poètes qui fabriquent des revues, qui organisent des festivals, qui ont des amis communs et qui voyagent pour dire là-bas ce qui se passe ici et, ici, ce qu’ils ont vu et rencontré là-bas.
Avec Henri ce fut ainsi.

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Véronique Pittolo

Henri Deluy, une lumière persistante.

Chaque hommage aux personnes qui nous ont marqués reflète la personnalité de celui qui écrit, mais ne doit pas épuiser la richesse de celui auquel il est destiné. Henri Deluy avait beaucoup d’amis, il reçoit des hommages. Comment choisir parmi les meilleurs moments, les phrases qui caractérisent le mieux Henri, comment retrouver sa voix ?
Je le rencontre au début des années 90 alors que je participe au comité de rédaction des Lettres Françaises, dont il est rédacteur en chef. Il y a là Jean Ristat, Bernard Noël, Christophe Marchand-Kiss, Jacinto Lageira, Jean-Pierre Han, Renaud Ego, une effervescence intellectuelle doublée d’une bonne humeur permanente.

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Élisabeth Jacquet

Cher Henri,

C’est sur une île aux couleurs de la Méditerranée, votre mer, que j’apprends cet été par mon amie Véronique, à travers laquelle je vous ai rencontré, que vous nous avez en partie quittés.
Aussitôt je me rappelle un premier déjeuner avec vous, au cours duquel je vous dis être en train de lire Ulysse de Joyce, d’en goûter la fabuleuse énergie sans pourtant rien y comprendre vraiment. Alors vous commentez, m’expliquez, la culture antique, l’Odyssée, la construction du livre, et j’entrevois – je ne vous connais pas – l’étendue impressionnante de votre culture.
Depuis ce jour Cher Henri, vous ne le savez pas, mais je vous dois beaucoup.

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